Une question de survie ?

Sud-Ouest me consacre un portrait.

Quelles sont les ambivalences du pouvoir ?

Le pouvoir est chargé d’ambivalences. On voit en lui une garantie de sûreté ou de protection… mais est-ce vraiment le cas ?

« Prendre le temps » : c’est l’enjeu de nos vies, au quotidien. Et pourtant ! Quelle expression étrange et presque péremptoire ! Qui oserait prétendre pouvoir « prendre » le temps !

Le fantasme fait partie de notre vie. Qu’il s’agisse d’un moment rêvé, de vacances attendues ou de personnes que nous désirons, le fantasme traverse notre esprit. En apparence, il semble simple, puisqu’il nous donne à voir l’objet de notre désir. Et pourtant…

“On n’est heureux qu’avant d’être heureux”, nous dit Rousseau. Pourquoi donc ? Pourquoi la satisfaction de nos désirs n’est-elle pas (toujours) synonyme du bonheur que nous avons espéré ?

Est-ce grave de ne pas croire ou de ne plus croire en l’amour ? Faut-il « guérir » ceux qui n’y croient plus, en plaidant en faveur du sentiment amoureux ? Doit-on nécessairement convaincre les autres de courir le risque d’aimer ?

L’amour est une réalité, mais il est aussi l’objet d’une croyance, voire, même, un objet de foi. Or, on peut perdre la foi et ne plus croire en l’amour.

Pour Nietzsche, nous vivons dans une “bulle”. Pourquoi donc ?

La vérité est-elle une apparence de plus ? Nietzsche la suite

Pour Nietzsche, il n’y a pas de fait. Pourquoi ?

Le billet d’aujourd’hui fait suite à celui de la semaine dernière et continue à traiter du thème de l’inspiration

Quand on regarde les animaux, on constate qu’ils sont comme guidés par l’instinct. Celui-ci les aide à vivre, survivre et se reproduire.

Un réflexion sur un enjeu actuel

La question peut sembler étrange…

Les journées s’ “allongent” en ce mois de janvier, comme on dit…